Nsizwa était son nom. Keshani, son éthnie.
Son physique, transpirant la trentaine, inspirait aux supputations les plus élogieuses quant à ses capacités offensives.
Aisément analogue avec certains individus Darfari, la plupart des exilés le pensaient vénérer un quelconque dieu barbare primitif.
Ceux ayant pu croiser sa route se souvenait d'un homme digne, conquérant et territorial, jugeant un opposant avant de rentrer dans le conflit; toutes les qualités d'un chef de guerre.
Il aurait élu domicile dans la portion est des terres d'exil, en plein cœur de la junrais.